… les écureuils roux !
Batifolant sur un mur de ville, scène improbable mais imaginée pour se projeter à la place des animaux sauvages et de leurs conditions de vie actuelle.
Le trait est forcé mais souligne la dégradation des campagnes, ces berceaux devenant difficilement habitables car dégradés de toutes parts. De plus en plus de bêtes sauvages entament un exode vers les villes, y trouvant sans doute de meilleures conditions de vie, c’est le monde à l’envers. Les villes se veulent plus vertes et commencent un processus d’inclusion du sauvage, les campagnes sont à la traîne où le glyphosate coule encore à flots.
Nous confinés, eux se déconfinent, c’est fou !
Qu’en est-il le reste du temps alors ?
Le fresque est visible au 38 rue de la Roquette à Paris, jusqu’en juin.
Une lithographie est proposée à la vente dans la boutique Bastille optic.
Voir l’article précedent sur la lithographie
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